2025
Arts & Design
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Fanny VIGNON
vignon.fanny@gmail.com
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Formée en écoles d’art et de design, j’ai exercé pendant douze ans dans les domaines de l’architecture commerciale, de la scénographie et de la communication. Mon parcours en entreprise, enrichi par des expériences dans le secteur de la santé, a nourri une réflexion sur le rôle social et éthique du design.
Ces constats ont progressivement orienté ma trajectoire vers l’enseignement, afin de transmettre une approche du design à la fois critique, sensible et responsable. Certifiée par les concours PEA et CAPLP, j’accompagne désormais les élèves dans le développement d’une pensée créative et engagée.
Sans Titre, Métal, 550X210X6cm
Mai . 2006 - Vercors
︎ Projet: ‘Epouvante’
︎ Médium: Métal
︎ Sujet: Acier
Ce projet a pris forme lors d’un mois d’immersion dans l’atelier du métallier Serge Roca. L’apprentissage des techniques de soudure s’est nourri d’une approche sensible du matériau. L’acier devient ici un vecteur d’intention, où le lieu d’exposition participe pleinement du sens. L’objet forgé devient repère ou point d’ancrage, entre élévation et enracinement.
Quelle projection engage-t-on dans la matière ? Peut-on déplacer les montagnes ou faut-il accepter de s’y attacher ? Ce travail explore l’ambivalence entre poids et tension, entre structure et symbole.
Il entre en résonance avec La poutre de Pierre Malphettes, où la contrainte devient support d’un récit sensible. On peut y lire aussi l’influence de Tomás Saraceno, ou de Richard Serra, dans la manière d’envisager le volume comme espace mental autant que physique.
︎ Médium: Métal
︎ Sujet: Acier
Ce projet a pris forme lors d’un mois d’immersion dans l’atelier du métallier Serge Roca. L’apprentissage des techniques de soudure s’est nourri d’une approche sensible du matériau. L’acier devient ici un vecteur d’intention, où le lieu d’exposition participe pleinement du sens. L’objet forgé devient repère ou point d’ancrage, entre élévation et enracinement.
Quelle projection engage-t-on dans la matière ? Peut-on déplacer les montagnes ou faut-il accepter de s’y attacher ? Ce travail explore l’ambivalence entre poids et tension, entre structure et symbole.
Il entre en résonance avec La poutre de Pierre Malphettes, où la contrainte devient support d’un récit sensible. On peut y lire aussi l’influence de Tomás Saraceno, ou de Richard Serra, dans la manière d’envisager le volume comme espace mental autant que physique.