Sans Titre - Série 40x60cm
Oct. 2007 - Toulon






︎ Projet: ‘Portrait série - 6 ’
︎ Médium: Lavis, Pierre noire
︎ Sujet: Commémoration
Cette série de portraits , réalisés au lavis et à la pierre noire, s’inscrit dans une démarche de commémoration. Le travail s’appuie sur une enquête historique et de terrain autour de figures féminines peu reconnues. Présentés in situ, les dessins s’insèrent dans un contexte spatial et mémoriel spécifique ‘Les petites alliées’. Le geste graphique, retenu et répétitif, cherche à établir un lien discret entre l’image et l’absence.
Comment faire exister, par un moyen plastique, le souvenir de celles dont la mémoire semble avoir été effacée ? Cette production questionne le rôle du dessin dans la restitution de récits invisibilisés, et plus largement dans la construction d’une mémoire partagée.
Le travail entre en résonance avec le projet Square of the Invisible Monument de Jochen Gerz, qui propose une approche non figurative de la mémoire. On peut également évoquer les réflexions de Paul Ricœur sur l’oubli, ou certaines pratiques contemporaines qui s’appuient sur la discrétion du signe graphique pour évoquer des présences absentes. Parmi elles : Christian Boltanski, Ernest Pignon-Ernest, Tacita Dean ou encore Roman Opalka, dont les démarches explorent différentes formes de mémoire, de disparition ou de témoignage silencieux.
︎ Médium: Lavis, Pierre noire
︎ Sujet: Commémoration
Cette série de portraits , réalisés au lavis et à la pierre noire, s’inscrit dans une démarche de commémoration. Le travail s’appuie sur une enquête historique et de terrain autour de figures féminines peu reconnues. Présentés in situ, les dessins s’insèrent dans un contexte spatial et mémoriel spécifique ‘Les petites alliées’. Le geste graphique, retenu et répétitif, cherche à établir un lien discret entre l’image et l’absence.
Comment faire exister, par un moyen plastique, le souvenir de celles dont la mémoire semble avoir été effacée ? Cette production questionne le rôle du dessin dans la restitution de récits invisibilisés, et plus largement dans la construction d’une mémoire partagée.
Le travail entre en résonance avec le projet Square of the Invisible Monument de Jochen Gerz, qui propose une approche non figurative de la mémoire. On peut également évoquer les réflexions de Paul Ricœur sur l’oubli, ou certaines pratiques contemporaines qui s’appuient sur la discrétion du signe graphique pour évoquer des présences absentes. Parmi elles : Christian Boltanski, Ernest Pignon-Ernest, Tacita Dean ou encore Roman Opalka, dont les démarches explorent différentes formes de mémoire, de disparition ou de témoignage silencieux.