Sans Titre - Série 40x60cm
Nov. 2007 - Toulon



︎ Projet: ‘Portrait série - 3 ’
︎ Médium: Lavis, Pierre noire
︎ Sujet: Geste et facture
Cette série prolonge les recherches amorcées dans Les petites alliées, en explorant le portrait et l’autoportrait à travers un protocole de dessin particulier : le regard reste fixé sur le sujet, non sur la feuille. Ce décalage volontaire produit un tracé hésitant, fragmentaire, où la facture porte une part de l’expression.
Le projet interroge comment le geste, lorsqu’il s’émancipe du contrôle visuel, peut révéler une forme d’intimité ou d’invisibilité. La figure devient alors trace, tension, apparition partielle — une manière d’exposer l’incertitude ou l’attention prolongée.
Ce travail entre en résonance avec les portraits de Yan Pei-Ming, dont l’échelle et la matière rendent visibles des présences marginales, ou encore ceux de Francis Bacon, où la déformation et le cadre participent à une intensité intérieure. Il rejoint aussi les dessins de Giacometti, où chaque trait répété semble chercher à cerner une présence insaisissable, toujours en train d’apparaître sans jamais se fixer.
︎ Médium: Lavis, Pierre noire
︎ Sujet: Geste et facture
Cette série prolonge les recherches amorcées dans Les petites alliées, en explorant le portrait et l’autoportrait à travers un protocole de dessin particulier : le regard reste fixé sur le sujet, non sur la feuille. Ce décalage volontaire produit un tracé hésitant, fragmentaire, où la facture porte une part de l’expression.
Le projet interroge comment le geste, lorsqu’il s’émancipe du contrôle visuel, peut révéler une forme d’intimité ou d’invisibilité. La figure devient alors trace, tension, apparition partielle — une manière d’exposer l’incertitude ou l’attention prolongée.
Ce travail entre en résonance avec les portraits de Yan Pei-Ming, dont l’échelle et la matière rendent visibles des présences marginales, ou encore ceux de Francis Bacon, où la déformation et le cadre participent à une intensité intérieure. Il rejoint aussi les dessins de Giacometti, où chaque trait répété semble chercher à cerner une présence insaisissable, toujours en train d’apparaître sans jamais se fixer.