Sans titre - 42X250cm
Nov. 2007 - Toulon







︎ Projet: ‘Sculpture mouvement et 6 dessins’
︎ Médium: Metal, Photographie
︎ Sujet: Visage
Extension d’un travail entamé autour des portraits de jeunes filles oubliées, cette production associe une sculpture en métal, des dessins et des photographies. L’installation articule différents médiums pour rendre visible une mémoire située : celle des visages projetés dans le quartier du « petit Chicago », marqué par une histoire sociale et territoriale forte. Le dispositif propose un déplacement du portrait vers l’espace public, dans une tentative de faire dialoguer présence matérielle et souvenir.
Comment assumer, plastiquement, la responsabilité du regard porté sur l’autre ? Cette production explore la tension entre représentation et altérité. Elle s’inscrit dans une réflexion sur la rencontre avec le visage de l’autre, que Emmanuel Levinas considère comme un appel éthique irréductible, fondement de toute relation intersubjective.
Le travail trouve un écho formel dans certaines sculptures mobiles d’Alexander Calder, où le mouvement et la légèreté engagent une lecture sensible de l’espace. Il peut également se rapprocher de démarches contemporaines impliquant la projection ou la mise en tension de visages dans l’espace urbain, comme celles de Sophie Calle ou JR, où s’articulent visibilité, responsabilité et mémoire.
︎ Médium: Metal, Photographie
︎ Sujet: Visage
Extension d’un travail entamé autour des portraits de jeunes filles oubliées, cette production associe une sculpture en métal, des dessins et des photographies. L’installation articule différents médiums pour rendre visible une mémoire située : celle des visages projetés dans le quartier du « petit Chicago », marqué par une histoire sociale et territoriale forte. Le dispositif propose un déplacement du portrait vers l’espace public, dans une tentative de faire dialoguer présence matérielle et souvenir.
Comment assumer, plastiquement, la responsabilité du regard porté sur l’autre ? Cette production explore la tension entre représentation et altérité. Elle s’inscrit dans une réflexion sur la rencontre avec le visage de l’autre, que Emmanuel Levinas considère comme un appel éthique irréductible, fondement de toute relation intersubjective.
Le travail trouve un écho formel dans certaines sculptures mobiles d’Alexander Calder, où le mouvement et la légèreté engagent une lecture sensible de l’espace. Il peut également se rapprocher de démarches contemporaines impliquant la projection ou la mise en tension de visages dans l’espace urbain, comme celles de Sophie Calle ou JR, où s’articulent visibilité, responsabilité et mémoire.